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i know it's sad baby, come on we can dance it off ➴ amina salehi

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Archangel
Amina Salehi


Amina Salehi
Faceclaim : alia shawkat
Crédit : ava: avengedinchains ; signa : wiise
Messages : 9
Occupation : chanteuse populaire

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MessageSujet: i know it's sad baby, come on we can dance it off ➴ amina salehi   i know it's sad baby, come on we can dance it off ➴ amina salehi EmptyJeu 5 Juil - 18:39


SALEHI AMINA

nom » salehi
prénom » amina
surnom » amina spencer (nom de scène)
genre » féminin
date de naissance » 30 juillet 1990
âge » 27 ans
lieu de naissance » columbus, ohio
nationalité » américaine
taille » 1m66
occupation » chanteuse populaire
groupe » nephilim
faceclaim » alia shawkat

»» Nephilim
choeur du parent angélique » archangel
pouvoirs » gospel, inspire
statut » rogue


apparence

Amina n’est peut-être pas une beauté conventionnelle aux yeux des critères blancs et américains, mais son apparence a certainement le don de capter et d’intriguer par ethnie ambiguë qui lui a également permis de percer dans le monde de la musique pop sans trop subir de racisme. Sa peau un peu plus hâlée que la moyenne des habitants de l’Ohio est parsemée de taches de rousseur qui se concentrent sur ses épaules et partout dans son visage et qui, en plus de sa petite taille et ses épaules étroites, lui donnent des airs de gamine espiègle. Les expressions qui passent sur son faciès ovales sont toujours assez visibles par ses sourcils fournis qui demandent leur lot d’entretien et sa bouche charnue et rieuses à côté de laquelle trône un grain de beauté qui fait sa marque de commerce. Son nez large, sans être épaté, au bout rond qui pointe vers le bas se plisse souvent pour exprimer son mécontentement avec quelque chose. Ses cheveux bouclés coupés en un bob foisonnant sont du même brun foncé que ses yeux aux longs cils, un peu enfoncés dans leurs orbites, mais dont les iris sont toujours pétillants.

Son poids a toujours eu tendance à fluctuer, donc de garder la même figure à laquelle on s’attend d’une chanteuse pop lui demande un régime rigoureux d’exercice et de bonne nutrition, elle donc les jambes courtes et les courbes certaines ne destinaient pas au départ à devoir faire des galipettes en costume de lycra sous les projecteurs. On peut remarquer quelques discrets tatouages monochromes sur ses épaules et ses bras, beaucoup moins nombreux et voyants que ce que se permettent d’autres. Ce n’est pas une question d’acceptabilité sociale dans son cas, mais plus d’esthétisme. Son style vestimentaire dans la vie de tous les jours reste en ligne avec la sobriété de ses tatouages, elle apprécie les vêtements confortables et fluides qui lui permettent de ne pas avoir à mettre de soutien-gorge, de gaine ou tout autre instrument de torture. Son style peut passer d’ensemble très tomboys aux robes fleuries, tant que cela reste plutôt décontracté. Elle rechigne devant l’idée de porter des talons très hauts ou des accessoires encombrants. Ce n’est pas par son style vestimentaire que Amina séduit, mais par sa voix. Grave, un peu gutturale, définitivement puissante, sa voix prend tout son pouvoir lorsqu’elle chante, provoquant des émotions intenses chez qui l’écoute. L’effet est moindre lorsqu’elle ne fait que parler, mais elle demeure tout de même captivante. Il n’est pas rare d’être capable de discerner sa voix à travers des dizaines d’autres lors d’une soirée. La jeune femme a cette capacité de commander l’attention par sa simple présence, son bagage angélique inconnu n’y étant pas innocent.


personnalité

Amina n’est pas sans savoir que le gens la traitent différemment des autres, et elle le sait depuis longtemps. Elle a remarqué assez jeune comment tous étaient facilement impressionnés ou charmés par quelque chose qu’elle ne peut expliquer mais qui ne vient clairement pas d’un effort conscient de sa part. La chanteuse a donc toujours été habituée à ne pas devoir attendre trop longtemps pour avoir ce qu’elle voulait, parfois même sans avoir à le demander. Elle peut donc avoir un tempérament d’enfant gâté qu’on lui pardonne ou qu’on ne mentionne pas en sa présence. Elle est têtue comme un mule, en plus, bonne chance à celui ou celle qui voudrait la faire marcher à un rythme autre que le sien, ce qui fait qu’elle n’est certainement pas l’artiste populaire avec laquelle il est le plus agréable de travailler. Surtout depuis les dernières années, elle se lève quand elle veut, se couche (ou non) quand elle veut, consomme ce qu’elle veut et drague qui elle veut, même si cela défie la logique ou le bon sens.

Sa réputation de fêtarde n’est plus à faire et n’est en aucun cas fabriquée. Amina adore faire la fête, danser dans les clubs, a un certain penchant pour les plaisirs illicites et la malbouffe, bien des choses compatibles avec le fait de maintenir une bonne santé ainsi que pour donner le bon exemple à ses jeunes fans. Il va sans dire que les magazines ont fait leur chou gras de ses incartades nombreuses. Cela causait néanmoins beaucoup plus d’inquiétude à son agent qu’à la principale intéressée qui sait très bien qu’on la pardonne dès qu’elle monte sur scène pour chanter.

Le fait de savoir que la plupart des gens seront charmés avant qu’elle ouvre la bouche amène une certaine facilité, mais aussi un grand sentiment d’isolement, alors qu’Amina se doute que peu de ces gens l’aiment vraiment et continueraient de l’aimer si elle se réveillait dénuée de pouvoir le lendemain matin. Très sociables, elle ne peut s’empêcher de charmer ou de séduire le plus de nouvelles personnes (peu importe leur genre, elle n’est pas difficile), parce qu’elle en tire toujours une satisfaction non négligeable, mais surtout parce que c’est tout ce qu’elle sait faire. Au final, elle ne s’ouvre que très peu et les relations qu’elle entretient sont très superficielles. Elle a développé,  à travers les années, une vision assez cynique du monde et n’a pas une estime très bonne de ses semblables, à quelque exception près. Elle ne serait pas du tout motivée à faire quoi que ce soit pour changer les choses. Elle sait qu’elle ne sait pas faire plus que chanter et charmer.

Elle est néanmoins, malgré ses nombreux défauts, drôle et de bonne conversation, elle est définitivement celle qu’il faut aller voir pour passer une belle soirée. De plus, le fait de devenir riche et célèbre ne l’a pas empêché de rester généreuse de ses avoirs, et de son temps dans les mesures du possible. D’avoir accès à son intériorité demande de passer outre son extérieur au charisme surnaturel qui en distrait plus d’un. Mais, lorsqu’on y arrive, on découvre quelqu’un de beaucoup plus vulnérable et seule que l’on aurait cru, elle qui semble avoir si bien réussi et être entouré de fans qui l’adulent et d’un entourage servile.


histoire

Pour quelqu’un qui avait passé la nuit à boire, elle a drôlement soif. Elle amène à sa bouche la bouteille qu’elle tient comme un gourdin dans les rues désertées. Les bulles du champagne ont un goût de papier sablé sur sa gorge desséchée. Elle renifle, le goût du sang revient rapidement sur sa langue. Quelle soirée, se répète-t-elle. Le cocktail explosif de ce qu’elle a ingéré la laisse à la fois épuisée et fébrile, elle a l’impression que son coeur va la lâcher après avoir battu si fort. Elle s’arrête à côté d’une benne à ordure, prend une longue gorgée pour finir la bouteille qu’elle laisse tomber avec fracas sur l’asphalte. Personne dans les rues à cette rue, tout le monde repart de la fête en limousine. C’est probablement pour cela que personne n’a remarqué qu’elle sorte. C’est pour ça que personne ne me cherche. Untel pense qu’elle est probablement avec unetelle et vice-versa. Une escapade parfaite. Elle était sortie pour prendre de l’air, et avait simplement continué de marcher. Elle agrippe le rebord de la benne pour s’y hisser. Avec l’entraînement de coureur de marathon kényan que lui imposait son agent, elle espère être au moins capable de grimper dans une stupide benne à ordure. Elle y arrive finalement, perd une chaussure dans le processus, la moitié de ses orteils respire enfin. Elle se laisse tomber dans les détritus. Bonjour les amis. La voilà couchée parmi ses semblables. Elle imagine déjà les grands-titres du lendemain: AMINA SPENCER: RETROUVÉE MORTE DANS UNE BENNE À ORDURES. LA PISTE DU MEURTRE EST ÉCARTÉE POUR LA SURDOSE… ACCIDENTELLE OU PAS ? Bon… Ce n’était pas très concis comme titre, elle y pensera encore un peu. Tout le monde serait surpris, enfin, feraient semblant de l’être pour la première journée. Ensuite, la vérité sortirait. On parlerait de son comportement erratique depuis qu’elle avait annoncé qu’elle prenait une pause de la musique, on parlerait qu’aucun album n’était en cours, que les tournées avaient toutes été annulées, que sa biographie filmée piétinait. Au moins son argent irait à Karen, elle qui l’avait toujours refusé, même quand elle en aurait eu besoin, là elle n’aura plus le choix.

Amina Spencer ? C’est ce que tu as choisi comme nom d’artiste ? Je devrais être flattée.
Te fais pas d’idée, personne n’écouterait une chanteuse avec un nom de famille iranien dans ce pays de merde.
Si tu le dis.

Pourquoi avait-elle toujours été aussi méchante avec Karen ? Clairement, cette femme mérite une médaille. Elle n’a aucune idée pourquoi, mais elle n’a jamais pu la laisser entrer dans sa chambre, littéralement et figurativement. Tant qu’à crever de ce qui arriverait le premier entre le coma éthylique et la surdose dans une benne à ordure, elle peut bien faire le point sur sa vie.

Elle pense tout de suite à son père, Allah ait son âme, si c’était quelque chose qui l’intéressait. Elle sait qu’il était croyant, mais ils ne s’en sont jamais beaucoup parlé. Elle essaie de se rappeler de quoi ils parlaient ensemble. Ça fait trop longtemps, elle ne peut pas mettre le doigt sur quelque chose. Il avait toujours été l’homme le plus doux qu’elle ait jamais connu, mais il était parfois une vraie huître. Elle doit tenir ça de lui. Elle n’avait jamais réussi à lui tirer les vers du nez sur l’identité de sa mère. Elle connaît seulement la version officielle, celle que Karen raconte aux intéressés. Elle et son père, Farid de son prénom, s’étaient rencontrés dans le cadre de son travail. Karen, travailleuse sociale à Columbus, s’était épris très peu professionnellement de ce mystérieux immigrant iranien qui débarquait de nulle part avec un bébé naissant dans les bras, sa fille qu’il disait. La fille de qui d’autre, personne ne le savait. Karen sortait à peine d’un divorce difficile, mais elle n’avait pas froid aux yeux, elle qui avait la pleine garde de ses jumeaux de 2 ans, de prendre Farid et Amina sous son aile ne la faisait pas sourciller, malgré les accusations de mariage de carte verte qu’on leur avait lancé pendant de nombreuses années. Farid avait des diplômes, non-reconnus évidemment, mais n’avait pas rechigné devant un emploi de chauffeur de taxi. Il semblait plus heureux dans un taxi en Ohio que là d’où il venait. Il avait dû en parler à Karen, mais Amina n’avait rien pu lui tirer de sa vie en Iran. Peut-être attendait-il qu’elle soit assez adulte pour comprendre. Peut-être que s’il était revenu, cette nuit-là, ils auraient pu en parler.

La vie est injuste comme ça. Traverser la moitié du monde pour se faire poignarder dans son taxi, un mercredi soir dans la ville la plus ennuyante des États-Unis. Elle l’avait pris aussi bien qu’une adolescente de 15 ans qui venait de perdre sa seule famille connue. Karen et les jumeaux ne semblaient pas convenir dans ce temps-là.Ce qu’elle aurait voulu, c’était son père. C’était à ce moment-là qu’elle avait commencé à chanter.Elle griffonait des chansons dans un carnet et personne, surtout pas elle, ne se rendait compte de la piètre qualité de celles-ci. Elle avait toujours eu ce don, sa voix venait toucher les gens dans des tréfonds insoupçonnés de leur âme ou quelque chose. C’était comme ça qu’elle avait rencontré Allison. Allison était fascinée par elle, comme tout le monde, mais, contrairement à tout le monde, c’était réciproque. Allison écrivait des chansons bien meilleures que les siennes et lui avait proposé de l'accompagner au piano. Allison avait le plus beau sourire de toute l’école et la détestait très probablement maintenant.

Allison n’avait pas ce qu’il fallait pour faire carrière, elle n’avait pas le charisme, elle n’avait pas le look. C’était ce qu’on lui avait dit elle l’avait cru. Elle avait accepté de signer le contrat avec une maison de disque sans lui dire, elle avait arrêté de répondre à ses appels, elle avait été la reine de merdes. Mais elle aurait d’autres gens, des professionnels pour écrire ses chansons. Elle n’avait même plus besoin de chanter quelque chose de bon, elle avait le look, le charisme et la voix. Sa carrière avait explosé, développant rapidement une base de fans obsédés. Cela ne l’avait pas surpris. Qu’on l’aime ou qu’on la déteste, on ne pouvait l’ignorer. Elle avait déménagé de Columbus le jour de sa majorité. Les interviews télé, les spectacles, les enregistrements, elle faisait déjà  ça comme si elle était née sur une scène. Mais rapidement, elle avait compris que peu importe les idioties qu’elle disait sur le sofa de l’interviewée, on l’aimait tout de même. Amina avait donc commencé à tester les limites, avec succès. Même en jetant le professionnalisme par la fenêtre, en accumulant les frasques scandaleuses, elle se faisait payer des montants monstre. Au début, c’était drôle, mais c’était devenu rapidement lassant.

Un mal de tête incroyable vient rejoindre les grondements inquiétants de son ventre. Elle tente de se rappeler le dernier ingrédient solide qu’elle a mangé et a envie d’un BigMac. Elle a envie d’un BigMac depuis 6 mois. Mais la vodka fait moins grossir. Et Dieu sait qu’il ne faut pas grossir. Les gens l’aiment de manière inexplicable sans bonne raison, mais il ne faut pas qu’Amina Spencer ne prenne un gramme. Cela fait 6 mois maintenant qu’elle n’a pas à entrer dans un ridicule costume de scène, mais il ne faut pas qu’elle grossisse. Cela fait 6 mois qu’elle est à New York pour travailler sur le film sur sa vie, comme s’il y avait quelque chose à dire là-dessus, et pourtant, les paparazzi savent encore toujours la trouver afin de vérifier si elle a grossi. Des conneries, tout ça. Si elle était un peu plus grosse, peut-être n’aurait-elle pas l’impression qu’elle allait mourir dans les minutes qui suivent. Elle n’arrive pas à trouver personne d’autre à qui envoyer de pensée. 27 ans de vie pour tout ça. Qu’avait-elle fait depuis qu’elle était partie de Columbus ? Avait-elle eu seulement un seul vrai ami ? Un seul vrai amant ? Il y avait ceux qui pensaient l’aimer et se mentaient à eux-même, et ceux qui l’aimaient probablement pour vrai qu’elle avait fait fuir avec une persistance impressionnante. Pourquoi j’ai été la reine de merdes avec tous ces gens? Peut-être avait-elle toujours espéré qu’ils restent malgré le pire. C’était un jeu auquel elle avait toujours fini par perdre.

Ses joues se mettent à picoter comme si elle avait mangé des feux d’artifices. Elle se rappelle soudainement du comprimé qu’elle a pris juste avant de partir. Si je me tape pas une surdose avec ça, je suis clairement bénie. Elle ferme les yeux et ignore qu’elle va les ouvrir dans un lieu totalement inespéré. Car elle est plus que bénie. La vie est injuste comme ça.

pseudo » byb  angle  disponibilité rp » 4/7 longueur habituelle des posts » Moyens (500-800), Longs (800+) comment avez-vous trouvé le forum ? » c'est un dc  mario  
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